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Par Modotre le 26 Janvier 2012 à 10:46
Parce qu'ils m'ont inculqué
Que dans l'immensité
Lointain, majestueux
Tu faisais ta demeure,
Corps tendu dès l'aurore
J'ai scruté l'infini
Du ciel me surplombant
Avant de m'écrouler,
Epuisée et frustrée,
Sur le banc vermoulu
De mon lopin de terre
Où la brise du soir
Murmurait mon prénom... enfin ! Tu étais là !
26 janvier 2012 - Marie-Claude Pellerin
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