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Par Modotre le 26 Janvier 2012 à 22:06
Et puisqu'il faut mourir
Pour atteindre à la vie
Etrangère à ta tombe,
Alors je pousserai
A deux mains le portail
Du froid jardin de marbre
Pétrifiant ta présence
Pour me pelotonner,
Chrysalide en attente,
A l'ombre de ta croix
Jusqu'à demain... peut-être...
Où, papillon diaphane
Dans un rais de lumière,
Par dessus nos destins
Je viendrai te rejoindre.
Marie-Claude Pellerin
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